Jean-Claude Labrecque was born on June 19, 1938, in Québec. He is the son of Adélard Labrecque and Alda Roberge. His father was a baker
On 16th Street in Québec. His father died when Jean-Claude was five and a half years old and, at 16-17 years, his mother
Alda Amarilda dies.
In 1956, at the age of 18, he made a basic school in photography and earned his living by photographing weddings, babies and birthdays.
In 1957 to 19 years, it returns to the Office du film du Québec (ONF), where it teaches to him the rudiments of the camera. He learns his trade
at the ONF, where he served as assistant cameraman for two years.
Then, he became the cinematographer and worked with several filmmakers such as Claude Jutra, Gilles Carle and Anne Claire Poirier.
In 1965, he made his first film, "60 cycles", a visual account of the St. Lawrence cycling tour, whose technical prowess
are worth fifteen prizes, including a first prize of the short film at the Moscow Festival.
Throughout his career of more than 50 years, as a cameraman, director of photography, director, editor, screenwriter, producer, and even actor,
he endeavored to fix on the film significant moments in the history of Québec, whether sporting, cultural or political.
On May 31, 2019, he died in Montréal city at the age of 80.
Jean-Claude Labrecque was a member of the Labrecque Association (Member No. 349).
Pierre Labrecque (circa 1626-after 1702) and Jeanne Chotard
Married in Chateau-Richer, on January 2, 1663
Mathurin (1663-1736) and Marthe Lemieux
Married in Lauzon, Lévis, on November 5, 1693
Joseph Labrecque (1700-1777) and Marie-Joseph Leroy
Married in Beaumont, on June 17, 1734
Joseph-Marie Labrecque (1738-1803) and Suzanne Girard
Married in Lauzon, on February 4, 1765
Joseph Labrecque (circa 1765-1832) and Françoise Bussière
Married in Beaumont, on January 14, 1806
Louis-Damase Labrecque (1826-1907) and Marcelline Filteau
Married in Beaumont, on July 29, 1851
Louis-Damase Labrecque (1856-1939) and Clara Langlais
Married in Saint-David-de-l'Auberiviève, on July 25, 1882
Adélard Labrecque (1885-1945) and Alda Amarilda Roberge
Married in Saint-Romuald-d'Etchemin, on September 21, 1909
Jean-Claude Labrecque (1938-2019)
Children: Jérôme, Francis and Martin
Speech delivered at a meeting of Labrecque, August 18, 1996 in Québec
Bonjour les Labrecque!
Pour ce rassemblement, vous êtes venus de l’Ouest canadien, de l’Acadie, de New York, de la Nouvelle-Angleterre,
du Québec, bref, de l’Amérique française. Vous êtes la vivante illustration du film que je prépare en ce moment
pour le Musée de la civilisation, à Québec. Titre du tournage : « Ils ont marché l’Amérique. » Un film de vingt
minutes pendant le quel le conteur Michel Faubert, raconte l’arrivée et le rayonnement en Amérique du Nord de nos
ancêtres, de ces hommes et de ces femmes qui se sont embarqués à Saint-Malo, à Dieppe, à Honfleur, à La Rochelle.
On peut dire qu’ils avaient l’esprit d’aventure. Comme le rappelle Michel Faubert : « C’était pas une excursion.
La traversée durait de deux à trois mois, même qu’une fois, paraît que ça aurait pris cinq mois. Cinq mois à mourir
de soif au gré des courants parce qu’il vente pas, ou encore à se faire barouetter d’une tempête à l’autre, malade
comme un chien pendant des semaines, blotti dans un coqueron, dans un entrepont où tu peux pas te lever. Imaginez
l’espoir, l’angoisse aussi de partir pour cet étrange Nouveau-Monde en laissant par derrière soit les parents,
les amis, les amours, peut-être perdus à jamais. Je pars pour l’Amérique. Belle étoile du Nord. Sois-moi mon équipage.
Sois-moi mon réconfort ».
L’an Deux Mille n’est pas loin, mais bien malin qui peut prédire ce que le prochain siècle, ce que le prochain
millénaire nous prépare. Si nous ne savons pas où nous allons, nous sommes de plus en plus nombreux à vouloir savoir
d’où nous venons, à vouloir connaître notre histoire. Et je me suis laissé dire que les généalogistes sont très
occupés ces temps-ci.
Chers amis Labrecque, je souhaite par conséquent que ce grand rassemblement soit pour nous tous le déclenchement
d’un stimulant, d’un salutaire retour aux sources.
Jean-Claude Labrecque